The Holy Catholic Church, which has fought the battles of Christ for eighteen hundred years, is therefore destined to pass through a persecution compared to which those that she has suffered up to the present time are insignificant. St. Augustine classifies them under three general headings. The first he calls violent, on account of the cruelty with which the early Christians were treated by the Roman Emperors, while at a later period the Church suffered from the deception of false brethren, a trial much more insidious than the former, as it was more dangerous. But the persecution of Antichrist will combine both forms and will consequently prove more redoubtable than when one form only had to be contended with. - The Antichrist by the Rev. Paschal Huchede

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THE BROKEN CROSS (La croix cassée) par Piers Compton 2

http://messe.forumactif.org/t1370p15-the-broken-cross-la-croix-cassee-par-piers-compton



 Re: THE BROKEN CROSS (La croix cassée) par Piers Compton

Message  Sandrine le Mer 13 Jan - 10:25
Bon, je suis désolée et je ne voudrais pas passer pour une éternelle rabat-joie Embarassed mais il y a quelques points qui me chiffonnent ...

De ce que j'ai compris de ma lecture de la traduction ( au passage, un grand merci à Louis cheers ), c'est que Piers Compton dénonce la conciliaire ( ce qui est très bien ! ) mais considère la secte comme l'Eglise.

Voici quelques passages qui me laissent cette impression :

C'était l'Église catholique.

Mais maintenant, même ceux qui ont une mentalité irréligieuse en sont venus à réaliser, que tout cela a changé. L'Eglise a laissé tomber sa garde, cédé ses prérogatives, abandonné ses fortifications ; et ce sera l'objectif de ces pages d’examiner comment et pourquoi la transformation, jusqu'ici considérée par ses adhérents – et même par certains de ses détracteurs hostiles – comme impossible, aurait pu arriver. [ ...]

.... pour le manquement de l'Eglise à faire face aux conditions qui nécessitent une action vitale; pour son empressement à aller avec le courant en ne parlant pas contre, ou encore pour donner des encouragements à la subversion ; pour sa prédication d'une version édulcorée de l'humanisme, au nom de la charité chrétienne .....


Peut-être est-ce que je me trompe et là il faut me le dire mais d'après ces quelques lignes, je ne peux comprendre qu'une chose : Piers Compton voit la conciliaire comme l'Eglise Catholique.

Comment peut-on parler de l'Eglise à l'imparfait ? Comment peut-on parler de "manquement" de l'Eglise ? etc etc ... Question 

Là il va falloir m'expliquer .... scratch


Sandrine

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 Re: THE BROKEN CROSS (La croix cassée) par Piers Compton

Message  Sandrine le Mer 13 Jan - 10:42
Pour compléter mon interrogation :

wikipedia :

Pour Compton, le pape Jean XXIII fut le premier pape Illuminati


http://fr.wikipedia.org/wiki/Piers_Compton

Ça ne fait que renforcer ce que je crois comprendre.


Sandrine

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 Re: THE BROKEN CROSS (La croix cassée) par Piers Compton

Message  gabrielle le Mer 13 Jan - 11:02
Bonjour! I love you 

Tu ne fais pas du tout "rabat-joie" j'ai la même impression, ce que j'ignore c'est si Campton a progressé dans sa pensée ou bloqué dans cet amalgame de la Sainte Église avec la conciliaire.

Le but de son livre serait d'établir que j23 fut illuminati et les autres dans la même branche... scratch 

Sur Wiki ontrouve ceci

Piers Compton (1901-1986) est un auteur de biographies, de livres historiques et de théories conspirationnistes. Il fut un religieux de l'Église catholique et éditeur de l'hebdomadaire catholique "The Universe" durant 14 ans[


Dans son livre, The Broken Cross:The Hidden Hand In The Vatican il avance la thèse selon laquelle le Vatican fut infiltré par les Illuminatis, que le symbole de l'"oeil qui voit tout" avait un signification luciferienne et qu'il était utilisé par des responsables catholiques et jésuites, par exemple dans le logo du congrès catholique du Philadelphia Eucharistic Congress de 1976, ou encore sur un timbre du Vatican de 1978 et sur la croix personnelle du pape Jean XXIII[2]. Pour Compton, le pape Jean XXIII fut le premier pape Illuminati[3]. Selon Compton, le livre fut ensuite retiré de la vente et jamais réimprimé 4.


Le 4 nous renvoie à un autre auteur: http://www.rense.com/general49/cross.htm

En lisant le lien avec une traduction robotique, je comprends la même chose que toi... nous serions devant l'hérésie de la Frate, d'une "'église catholique apostate et de papes antichrists Suspect 

L'imparfait suppose que l'Église ne serait plus , la secte serait l'Église... affraid affraid

On va bien voir si toi et moi on souffre de parano chronique... Campton devrait bientôt dire que cette rapace n'est pas l'Église, mais à mon avis c'est mal parti pour ça.

As-tu remarqué que les antis-conspiratonistes arrivent à la porte mais ne l'ouvre jamais. La trouille les prends et on se retrouve avec un paquet de notions fausses et hérétiques sur l'Église et à mon avis cela laisse planer des doutes sur leurs affirmations sur la FM et les antipapes. Quel crédibilité à un homme ( un religieux) qui dénature l'Église à ce point?

Hillard fait la même chose de nos jours... JCMD a fait un découpage de deux vidéos d'Hillard et on se retrouve avec 3 minutes de vidéo...

J'attends moi aussi... le déclic... espérons qu'il se fera.


gabrielle

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 Re: THE BROKEN CROSS (La croix cassée) par Piers Compton

Message  Sandrine le Mer 13 Jan - 11:10
Merci Gabrielle I love you ... je me sens moins seule Very Happy 

Bien d'accord avec toi sur l'ensemble de ton post. Alors attendons de voir la suite ...

Parano chronique ou pas ? geek Very Happy


Sandrine

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 Re: THE BROKEN CROSS (La croix cassée) par Piers Compton

Message  gabrielle le Mer 13 Jan - 11:22
geek geek Bienvenue sur l'île de la prudence et de la méfiance Suspect Suspect


gabrielle

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 Re: THE BROKEN CROSS (La croix cassée) par Piers Compton

Message  Sandrine le Mer 13 Jan - 11:52
gabrielle a écrit:geek geek Bienvenue sur l'île de la prudence et de la méfiance Suspect Suspect


Wink


Sandrine

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 Re: THE BROKEN CROSS (La croix cassée) par Piers Compton

Message  Via Crucis le Mer 13 Jan - 13:31
Gabrielle a écrit :

geek geek Bienvenue sur l'île de la prudence et de la méfiance Suspect Suspect


Cette île c'est la bonne cheers c'est pourquoi je n'hésite donc pas à y surfer bounce ! Je suis devenue une surfeuse spécialisée Laughing! A quand le concours du meilleur surfeur ? Question 

Fuyons donc tous "l'île de la tentation"   (il y a malheureusement une émission TV de ce nom que je ne regarde JAMAIS !) où les hommes et les femmes perdent leurs âmes ! Sad Sad Sad


Via Crucis

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 Re: THE BROKEN CROSS (La croix cassée) par Piers Compton

Message  gabrielle le Mer 13 Jan - 16:53
Vous êtes un as... du surfing... cheers cheers


gabrielle

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 Re: THE BROKEN CROSS (La croix cassée) par Piers Compton

Message  ROBERT. le Mer 13 Jan - 20:55
Admin a écrit:Bonjour Javier.

La traduction de ce dossier sera assurée par notre ami Louis, celui-ci étant administrateur de Te Deum, inséra la traduction dans les posts que vous faites en langue anglaise. 

Ainsi dans le post 1 sera placé sa traduction française... et ainsi de suite.

Vous serez le meneur et Louis vous suivra. A Catholic team ! Wink 

Merci pour votre bon travail


Admin



A catholic team is always an "A" team. A "B" team should be... I Remember !  there is no "B" catholic team ! 

Bravo Javier ! Bravo Louis. J'y pense: va falloir que je me mette à la lecture de ce dossier...A.S.A.P...
.


ROBERT.

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 Re: THE BROKEN CROSS (La croix cassée) par Piers Compton

Message  Javier le Jeu 14 Jan - 7:27
7.

Apart from the earlier indications, the main purpose of the plot, to gain control of the Papacy, had been brought to light in Florence by an opponent of the secret societies named Simonini, who carried the news of their intention to Pius VII. But the Church could do little more in the way of defence than issue warnings; while the Carbonari, reinforced by the positive declarations uttered by the Alta Vendita, pressed home its attacks.

A few years after that document was issued, Little Tiger addressed the Piedmontese group of the society in the following terms: ‘Catholicism must be destroyed throughout the whole world. Prowl about the Catholic sheepfold and seize the first lamb that presents itself in the required conditions. Go even to the depths of convents. In a few years the young clergy will have, by the force of events, invaded all the functions. They will govern, administer, and judge. They will be called upon to choose the Pontiff who will reign; and the Pontiff, like the greater part of his contemporaries, will be necessarily imbued with the principles which we are about to put into circulation.

‘It is a little grain of mustard which we will place in the earth, but the sun of justice will develop it to become a great power, and you will see one day what a rich harvest that little seed will produce.’


The policy of infiltration had already been put into effect, and Little Tiger was soon claiming that a new breed of priests, talented young men who were likely to rise high in the hierarchy, had been trained to take over and destroy the Church. And that was no empty boast, since in 1824 he was telling Nubius: ‘There are certain members of the clergy, especially in Rome, who have swallowed the bait, hook, line, and sinker.’

The persistence, the thoroughness, and the single-minded purpose of the societies which, then as now, was not to be found outside them, was never in doubt. ‘Let the clergy march under your banner in the belief that they march under the banner of the Apostolic Keys. Do not fear to slip into the religious communities, into the very midst of their flock. Let our agents study with care the personnel of those confraternity men, put them under the pastoral staff of some virtuous priest, well known but credulous and easy to be deceived. Then infiltrate the poison into those chosen hearts; infiltrate it by little doses as if by chance.’

This was soon followed by a confident assessment of the inroads that the societies had already made. ‘In Italy, they count among their numbers more than eight hundred priests, among whom are many professors and prelates as well as some Bishops and Cardinals!’ It was claimed that many of the Spanish clergy were also involved.

But, as Nubius constantly repeated, all interim victories would be hollow until a Pope who was part of their ultimate design was occupying Peter’s Chair. ‘When that is accomplished’, he wrote in 1843, ‘you will have established a revolution led by the tiara and the pluvial (ceremonial) cape; a revolution brought about with little force, but which will strike a flame in the four corners of the world.’

There was a feeling of change in the air, a change that would extend beyond the boundaries of the Church and transform many facets of existence. Little Tiger summed it up hopefully to Nubius in 1846: ‘All feel that the old world is cracking.’And his finger must have been on the pulse of events, for two years later a highly select body of secret initiates who called themselves the League of Twelve Just Men of the Illuminati, financed Karl Marx to write the Communist Manifesto, and within months Europe was rocking with revolution.

But Nubius did not live long enough to sample whatever benefits might have come about. For activated by rumours, whether true or false, that he was letting his tongue wag too freely, the all-seeing Eye was turned in his direction and Nubius succumbed to a dose of poison.

We of this generation have lived through, and are still encountering, the political and religious aftermaths of a struggle whose causes were hidden from those who witnessed its early stages, just as they are from us who are blindly groping a way through its secondary phases. For its perpetrators, and their operations, are masked by secrecy, a secrecy so continuous, and profound, that it cannot be matched elsewhere.

A SUIVRE...


 "...a highly select body of secret initiates who called themselves the League of Twelve Just Men of the Illuminati, financed Karl Marx to write the Communist Manifesto, and within months Europe was rocking with revolution".

7. 

A part des indications antérieures, l'objectif principal du complot, prendre le contrôle de la Papauté, avait été mis au jour à Florence par un opposant aux sociétés secrètes nommé Simonini, qui a porté ces nouvelles au Pape Pie VII. Mais l'Eglise ne pouvait guère faire plus dans la défense que de lancer des avertissements, tandis que les Carbonari, renforcés par les déclarations positives prononcées par la Haute-Vente, pressaient leur attaque. 

Quelques années après ce document , Petit-Tigre s’adressa au groupe piémontais de la société dans les termes suivants: « Le catholicisme doit être détruit dans le monde entier. Rôder dans la bergerie catholique et saisissez le premier agneau qui se présente dans les conditions requises. Aller jusqu'au fond des couvents. Dans quelques années, ce jeune clergé aura, par la force des choses, envahi toutes les fonctions; il gouvernera, il administrera, il jugera, il formera le conseil du souverain, il sera appelé à choisir le Pontife qui devra régner, et ce Pontife, comme la plupart de ses contemporains, sera nécessairement plus ou moins imbu des principes italiens et humanitaires que nous allons commencer à mettre en circulation,

« c’est un petit grain de sénevé que nous confions à la terre, mais le soleil de justice le développera jusqu’à la plus haute puissance, et vous verrez un jour quelle riche moisson ce petit grain produira.» 


La politique d'infiltration avait déjà été mise en vigueur, et Petit Tigre bientôt prétendit qu'une nouvelle génération de prêtres, des jeunes hommes talentueux qui étaient susceptibles d’accéder à de très hauts postes dans la hiérarchie catholique, ont été formés pour s’emparer et détruire l'Eglise. Et ce n'était pas forfanterie, car en 1824, Nubius disait: « Il y a certains membres du clergé, surtout à Rome, qui ont avalé l'appât, l'hameçon, ligne et le plomb. » 

La persistance, la minutie, et le seul objectif des sociétés qui, hier comme aujourd'hui, ne devait pas être trouvée en dehors d'elles, n'a jamais été mise en doute. « que le Clergé marche sous votre étandard en croyant toujours marcher sous la bannière des Clefs apostoliques. Ne craignez pas de vous immiscer dans les communautés religieuses, au beau milieu de leur troupeau. Que nos agents étudient avec soin le personnel de ces confréries d’ hommes, de les mettre sous la houlette pastorale de quelque prêtre vertueux, notoire, mais crédule et qu’on peut facilement abuser. Ensuite, infiltrer le poison dans les cœurs choisis; infiltrer par petites doses, un peu au hasard.» 

Ceci fut suivi bientôt par une évaluation confiante des incursions que les sociétés avaient déjà fait. « En Italie, ils comptent dans leur sein plus de huit cents prêtres, parmi lesquels se trouvent de nombreux professeurs et des prélats, ainsi que certains évêques et des cardinaux! Il a été allégué que de nombreux membres du clergé espagnol étaient aussi impliqués. 

Mais, comme Nubius l’a répété constamment, toutes les victoires intérimaires seraient vides jusqu'à ce qu’un Pape qui soit partie prenante de leur dessein ultime, occupe la Chaire de Pierre. «Lorsque cela est accompli", , écrivait-il en 1843, « Vous aurez prêché une révolution en tiare et en chape marchant avec la croix et la bannière, une révolution qui n’aura besoin que d’être un tout petit peu aiguillonnée pour mettre le feu aux quatre coins du monde.» 

Il y avait un sentiment de changement dans l'air, un changement qui irait au-delà des frontières de l'Eglise et qui transformerait de nombreuses facettes de l'existence. Petit Tigre l’a résumé avec confiance à Nubius en 1846: «Tous sentent que le vieux monde craque." et son petit doigt a dû être à l'écoute des événements, car deux ans plus tard, (A)un corps très restreint d'initiés secrets, qui s'appelaient eux-mêmes la Ligue des Douze Hommes Justes des Illuminati, ont financé Karl Marx pour qu’il rédiger le Manifeste Communiste, et en quelques mois, l'Europe oscillait avec la révolution. (A) 

Mais Nubius n'a pas vécu assez longtemps pour même goûter aux avantages qui auraient pu en résulter. Activé par des rumeurs, qu’elles soient vraies ou fausses, qu'il aurait laisser aller sa langue trop librement, l’Œil qui-voit-tout s’est retourné dans sa direction et Nubius a succombé à une dose de poison. 

Nous, de cette génération, avons survécu et encore nous éprouvons les séquelles politiques et religieuses d'une lutte dont les causes ont été cachées à ceux qui y ont assisté à ses débuts, comme elles le sont pour nous qui tâtonnons aveuglément un chemin à travers ses phases secondaires. Pour ce qui en est de ses auteurs, et de leurs opérations, elles sont masquées par le secret, un secret si continu et profond, qu'il ne peut être égalé nulle part ailleurs. 

Louis :Le texte sous l'image est traduit sous la lettre (A)....(A) 

A SUIVRE ...


Javier

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 Re: THE BROKEN CROSS (La croix cassée) par Piers Compton

Message  Javier le Jeu 14 Jan - 7:40
When the French author, Cretineau-Joly, brought the sinister import of the Alta Vendita to the notice of Pope Pius IX (1846-78), who allowed his name to be used as a guarantee of its authority, the event, that should have called for a fanfare of silver trumpets, was drowned by the petty whistling of Parliamentary verbiage and cant. And when Adolphe Cremieux, Minister of Justice, as reported in Les Archives, Paris, in November 1861, voiced the precept that ‘Nationalities must disappear, religion must be suppressed,’ the circles that framed such statements saw that they were never diffused as forecasts of a condition that would clamour for widespread acceptance in less than a century.

Again, a reader of The Times, in Victorian England, would have noted, perhaps with an insular distaste for everything Latin, the disorders that flared from time to time in Spain, Portugal, Naples, and the Papal States. In seeking an explanation, the word ‘dagos’ might have suggested itself. But one thing is certain. He would never have thought that the man who master-minded the turmoil was no less a person than Lord Palmerston, who was the Queen’s Foreign Secretary between the years 1830-51, Prime Minister in 1855, and again in 1859 until his death in 1865.

For behind those Parliamentary titles, he was known to his fellow-conspirators as Grand Patriarch of the Illuminati, and therefore controller of all the sinister complex of secret societies. Glance at some of their political designs – the achievement of a united Italy under the House of Savoy; the annexation of Papal territory; the reconstitution of a Polish State; the deprivation of Austria, and the consequent rise of the German Empire.

Each of those objectives, irrespective of time, was set down on the Illuminati’s agenda. Each has been attained; and Benjamin Disraeli, who knew the whole business of plot and counter-plot, doubtless had Palmerston’s machinations in mind when he said, in 1876: ‘The Governments of this country have to deal, not only with governments, kings, and ministers, but also with secret societies, elements which must be taken into account, which at the last moment can bring all plans to naught, which have agents everywhere, who incite assassinations and can, if necessary, lead a massacre.’

The leaders of the Italian Revolution, Mazzini, Garibaldi, and Cavour were the servants of the Eye, while such monarchs of the time as Victor Emmanuel II and Napoleon III also came within its radius.

Throughout the remainder of the century the attack on orthodoxy gathered weight. In 1881 the Prime Minister of France, Leon Gambetta, could openly declare: ‘Clericalism, that is the enemy.’ A more popular orator roared: ‘I spit upon the rotting corpse of the Papacy.’ And the same year provided ample evidence of the hostility that was ready to break out in the most unexpected parts of the continent. For when the body of Pius IX was being transferred from the Vatican basilica to the church of St. Lawrence-outside-the-Walls, the cortège was attacked by a mob armed with cudgels. Amid their shouted obscenities a street battle developed before the body of the dead Pope could be saved from being flung into the Tiber. The authorities, siding with the rioters, took no action.

So in that way, and by many devious routes, the contests of early Christian times, and of the Middle Ages, were being continued. But now the Church’s enemies were shifting their attacks from open warfare to peaceful penetration, which was more in keeping with the spirit of the time.

‘What we have undertaken’, proclaimed the Marquis de Franquerie in the middle of the 19th century, ‘is the corruption of the people by the clergy, and that of the clergy by us, the corruption which leads the way to our digging the Church’s grave.’

An even more confident prediction, and on a new note, was made some sixty years later: ‘Satan must reign in the Vatican. The Pope will be his slave.’ Confirmation of this, and in much the same words was to be given in a revelation received by three illiterate children aged ten, eight, and seven respectively, at the little town of Fatima in Portugal in 1917. It took the shape of a warning that, at that time of day, seemed frankly ridiculous: ‘Satan will reign even in the highest places. He will even enter the highest position in the Church.’ [The author is quoting a version of the Third Secret current during the 80's; the version published by the Vatican in June 2000 does not contain these remarks].

Some indication of the prophetic, or carefully planned projects of the secret societies, may be read into a letter addressed to Mazzini, dated April the 15th, 1871, and catalogued in the British Museum Library. At that time wars were conducted on a comparatively small and restricted scale, but this letter, written more than forty years before the first world conflict started, may be interpreted as a forecast of the Second World War, together with more possible hints of a third and still greater catastrophe that is yet to come. Here it is quoted:

‘We will unleash the Nihilists and atheists, and we will provoke a formidable social catastrophe which, in all its horror, will show clearly to the nations the effect of absolute atheism, original savagery, and the most bloody turmoil.

‘Then everywhere the citizens, obliged to defend themselves against the majority of world revolutionaries, will extinguish the destroyers of civilisations; and the multitude, disillusioned with Christianity, whose deistic spirits will be from that time without compass, anxious for an ideal, but without knowing where to render its adoration, will receive the true light through the universal manifestation of the pure doctrine of Lucifer, brought finally out to the public view, a manifestation which will result from the general revolutionary movement which will follow the destruction of Christianity and atheism, both conquered and exterminated at the same time.’


In the above a term is used that, in the course of these pages, may call for clarification. It needs to be understood that the enemies of the Church were not atheists according to the commonly accepted meaning. They rejected religion as represented by the Christian God whom they refer to as Adonay, a being who has, they say, condemned the human race to a recurring round of suffering and darkness.

But their intelligence calls for the recognition of a god, and they found one in Lucifer, son of the morning and bearer of light, the brightest of the archangels who led the heavenly revolution in a bid to make himself the equal of God.

The highly developed Luciferian creed, until the end of the 1939 war, was directed throughout the world from a centre in Switzerland. Since that time its headquarters have been located in the Harold Pratt Building, New York.

But although such places may be named, the veil of secrecy surrounding the inner circle of world government has never been broken. Nothing else in the world has remained so hidden, so intact; and the existence of such an inner circle was acknowledged by no less a person than Mazzini who, although one of the arch conspirators, was compelled to admit, in a letter written shortly before his death to a Doctor Breidenstine: ‘We form an association of brothers in all points of the globe. Yet there is one unseen who can hardly be felt, yet it weighs on us. Whence comes it? Where is it? No one knows, or at least, no one talks. This association is secret even to us, the veterans of secret societies.’

The Voice, the universal brotherhood magazine, first published in England in 1973, later transferred to Somerset West, Cape Province, South Africa, has this to say about it: ‘The Elder Brothers of the Race usually move through the world unknown. They seek no recognition, preferring to serve behind the scenes.’

In his often quoted book 1984, George Orwell refers to this inner party, or universal brotherhood, and how, apart from its secrecy, the fact of its not being an organisation in the usual sense makes it invulnerable. While Sir Winston Churchill, in his study of Great Contemporaries, says: ‘Once the apparatus of power is in the hands of the Brotherhood, all opposition, all contrary opinions, must be extinguished by death.’

And there are enough strange deaths recorded even in these pages to make one pause over that.

A SUIVRE...

 "The leaders of the Italian Revolution, Mazzini, Garibaldi, and Cavour were the servants of the Eye..."

 ‘What we have is the corruption of the people by the clergy, and that of the clergy by us, the corruption which leads the way to our digging the Church’s grave.’ (Marquis de la Franquerie)

traduction approximative a écrit:Quand l'auteur français, Crétineau-Joly, a introduit la sinistre importation de la Haute-Vente à la demande du Pape Pie IX (1846-78), qui a permit que son nom soit utilisé comme une garantie de son autorité, l'événement, qui aurait appelé à une fanfare de trompettes d'argent, a été noyé par le petit sifflement du verbiage et au jargon Parlementaire. Et lorsqu’Adolphe Crémieux, ministre de la Justice, comme s’est rapporté dans Les Archives, Paris, en Novembre 1861, a exprimé le précepte que « Les nationalités doivent disparaître, la religion doit être supprimée," les cercles qui ont préparé ces déclarations, ont vu à ce qu'il ne soit jamais diffusé, en prévision d’un temps qui serait favorable à son acceptation généralisée en moins d'un siècle. 

Encore une fois, un lecteur du The Times, dans l'Angleterre victorienne, aurait remarqué, peut-être avec un dégoût insulaire poure toute ce qui est Latin, les troubles qui ont éclaté évasivement en Espagne, au Portugal, à Naples et dans les États pontificaux. En cherchant une explication, le mot « dagos » aurait pu venir de lui-même. Mais une chose est certaine. Il n'aurait jamais pensé que le cerveau qui se cachait derrrière ce tumulte était une personne telle que Lord Palmerston , qui fut le Secrétaire des Affaires étrangères de la Reine, entre 1830 et 1851, le Premier Ministre en 1855, et de nouveau en 1859, jusqu'à sa mort en 1865. 

Car derrière ces titres parlementaires, il était connu de ses compagnons conspirateurs comme Grand Patriarche de l'Illuminati , et dès lors l'organisateur de tout le complexe sinistre des sociétés secrètes. Coup d'œil de certains de leurs desseins politiques : la réunification de l’Italie sous la Maison de Savoie, l'annexion du territoire papal, la reconstitution d'un Etat polonais, la dépossession de l'Autriche, et en conséquence la montée de l'Empire allemand. 

Chacun de ces objectifs, indépendamment du temps, était à l'ordre du jour des Illuminati. Chacun d'eux a été atteint, et Benjamin Disraeli, qui connaissait toute l'affaire du complot et du contre-complot, avait sans doute les machinations de Palmerston à l'esprit quand il a dit en 1876: «Les gouvernements de ce pays ont à traiter, non seulement avec les gouvernements, les rois et ministres, mais aussi avec les sociétés secrètes, des éléments doivent être pris en compte, ce qui au dernier moment, peut porter à néant tous les plans, qui ont des agents partout, qui incitent à des assassinats et peuvent, si nécessaire, conduire à un massacre.» 

(A) Les leaders de la révolution italienne, Mazzini, Garibaldi et Cavour sont les valets de l'Œil (A) ,tandis que les monarques de l'époque tel Victor Emmanuel II et Napoléon III entrent aussi dans son rayon. (A)

Dans le reste du siècle, l'attaque contre l'orthodoxie s’intensifie. En 1881, le Premier Ministre de France, Léon Gambetta, pouvait déclarer ouvertement: «Le cléricalisme, voilà l'ennemi.» Un orateur plus populaire rugit: «Je crache sur le cadavre pourri de la papauté.» Et la même année a fourni de nombreuses preuves de l'hostilité qui était prête à éclater dans les endroits les plus inattendus du continent. Quand le corps de Pie IX a été transféré de la Basilique vaticane à l'église de Saint-Laurent-hors-les-Murs, le cortège a été attaqué par une bande armée de gourdins. Au milieu de leurs cris d’obscénités, une bataille de rue s’engagea devant le corps du Pape défunt, si tant est qu’il ne pu en être préservé qu’en étant précipité dans le Tibre. Les autorités, prêts des émeutiers, ne prirent aucune mesure. 

Donc, par ce chemin, et par de nombreuses voies détournées, les combats des premiers temps du christianisme, et du Moyen-Age, se poursuivaient. Mais aujourd'hui, les ennemis de l'Église changeaient leurs attaques, de guerre ouverte à infiltration pacifique : ce qui était plus en harmonie avec l'esprit de cette époque. 

(B) 'Ce que nous avons entrepris', a proclamé le marquis de Franquerie au milieu du 19ème siècle, 'est la corruption du peuple par le clergé , et celle du clergé par nous, la corruption, qui nous ouvre la voie pour creuser la tombe de l'Eglise.' (B)

Une prédiction encore plus hardie, et sur une nouvelle note, a été faite quelque soixante années plus tard : "Satan doit régner au Vatican. Le Pape sera son esclave. " La confirmation de ceci, et à peu près dans les mêmes mots, devait être donnée dans une révélation reçue par trois enfants illettrés, âgés respectivement de dix, huit et sept ans, dans le petit village de Fatima au Portugal en 1917. Il a pris la forme d'un avertissement qui, à ce moment-là, semblait franchement ridicule:"Satan règnera même aux postes les plus élevés. Il occupera (enter) même la plus haute position dans l'Eglise. "[L'auteur cite une version du Troisième Secret, courante pendant les années 80; la version publiée par le Vatican en juin 2000 ne contient pas ces remarques]. 

Quelque indication de cette prophétie, ou des projets soigneusement planifiés des sociétés secrètes, peut être lue dans une lettre adressée à Mazzini, en date du 15 Avril 1871, et répertoriée dans la bibliothèque du British Museum. Dans ce temps, les guerres étaient menées à une échelle relativement restreinte et limitée, mais cette lettre, écrite plus de quarante ans avant le premier conflit mondial, peut être interprétée comme une prévision de la Seconde Guerre mondiale, et de concert avec d'autres insinuations (hints) d'une troisième et encore plus grande catastrophe qui est encore à venir. Ici, il est dit: 

«Nous allons lâcher les nihilistes et les athées, et nous allons provoquer une redoutable catastrophe sociale qui, dans toute son horreur, montrera clairement aux nations l'effet de l'athéisme absolu, d’une sauvagerie primitive, et du plus sanglant des désordres. 

Alors, partout les citoyens, obligés de se défendre contre la majorité des révolutionnaires du monde entier, tueront les destructeurs des civilisations, et la multitude, désillusionnée par le christianisme, dont les esprits déistes, à partir de ce moment, seront déboussolés, inquiets pour trouver un modèle, mais sans savoir qui adorer, recevra la vraie lumière à travers la manifestation universelle de la pure doctrine de Lucifer, finalement mise en évidence à la vue du public, une manifestation qui résultera du mouvement révolutionnaire général qui suivra la destruction du christianisme et de l'athéisme , tous deux conquis et exterminés en même temps.» 


Ci-haut un terme est utilisé qui, au cours de ces pages, peut demander à clarification. Il faut comprendre que les ennemis de l'Église n'étaient pas athées selon le sens communément admis. Ils ont rejeté la religion, représentée par le Dieu chrétien qu'ils appellent Adonaï, un être qui, disent-ils, a condamné la race humaine à un cycle récurrent de souffrance et de ténèbres.

Mais leur intelligence appelle à la reconnaissance d'un dieu, et ils en ont trouvé un dans Lucifer, fils de l'aurore et porteur de lumière, le plus brillant des archanges qui a dirigé la révolution céleste dans le but de se faire l'égal de Dieu. 

Le credo luciférien très développé, jusqu'à la fin de la guerre de 1939, était dirigé de par le monde, à partir d'un centre en Suisse. Depuis ce temps, son siège social a été relocalisé au Harold Pratt Building, New York. 

Mais, bien qu’on puisse nommer de tels endroits, le voile du secret qui entoure le cercle intérieur du gouvernement mondial n'a jamais été brisé. Rien d'autre au monde qui n’aie resté aussi caché, donc intact; et l'existence d'un tel cercle intérieur a été reconnu par pas moins que Mazzini en personne qui, bien qu’étant l'un des maîtres conspirateurs, a été contraint d'admettre, dans une lettre écrite peu avant sa mort à un Docteur Breidenstine: «Nous formons une association de frères à tous les points du globe. Il ya pourtant une invisible qui ne peut guère se faire sentir, mais qui pèse sur nous. D'où vient-elle? Où est-elle ? Personne ne le sait, ou tout au moins, personne n’en parle. Cette association est secrète, même à nous, les vétérans des sociétés secrètes. " 

La Voix, le journal de la confrérie universelle, d'abord publié en Angleterre en 1973, puis transféré à Somerset West, Province du Cap, Afrique du Sud, a ceci à dire à ce sujet: «les Vénérables Frères (Elder Brothers) de la Race se déplacent généralement inconnus à travers le monde. Ils ne cherchent pas la reconnaissance, préférant travailler dans les coulisses. " 

Dans son livre souvent cité : 1984, George Orwell se réfère à cette partie intérieure, ou la fraternité universelle et comment, en dehors du fait de son caractère secret, le fait de ce qu’elle n’est pas une organisation dans le sens habituel du terme, elle est invulnérable. Alors que Sir Winston Churchill, dans son étude d es Grands Contemporains (Great Contemporaries) dit:«Une fois l'appareil du pouvoir entre les mains de la Fraternité, toute opposition, toute opinions contraires, doit être réglée par la mort.» 

Et il y a suffisamment de morts étranges enregistrées, même dans ces pages, pour faire une pause là-dessus. 

Louis: Les textes des images sont respectivement le et le B.

A SUIVRE ...


Javier

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 Re: THE BROKEN CROSS (La croix cassée) par Piers Compton

Message  Javier le Ven 15 Jan - 5:00
An Englishman who claimed to have known him, and to have made him acquainted with the occult, was Aleister Crowley, who had been born in the then demulcent town of Leamington in 1875, and who had then passed, by way of Cambridge, to become one of the most controversial figures in the world of mystery. People of intelligence still shake their heads over trying to answer such questions as to whether he was a master of the Black Arts, a dabbler in them, or merely a pretender. Somerset Maugham, who knew him well, gave his opinion that Crowley was a fake, ‘but not wholly a fake.’

He was certainly, as shown by his writings, a master of corruption. For what may be most charitably called his spiritual aspirations were tempered by a blatant sensualism. It was through the flesh that his being leapt out to embrace mystery. The images that passed into his mind came out deformed, often with a sexual connotation; and, like others of his kind who wander on the border of the unknown, he found comfort in sheltering behind a variety of fantastic names such as Therion, Count Vladimir Svaroff, Prince Chiva Khan, the Laird of Boleskin, a title that he tried to live up to by wearing a kilt. To his mother he was the Great Beast (from the Apocalypse). Crowley responded by calling her a brainless bigot.

By filing his two canine teeth he made them into fangs, which enabled him to implant a vampire’s kiss on the throat or wrist of any woman who was unlucky enough to meet him. He married Rose Kelly, a sister of the painter Sir Gerald, who later became President of the Royal Academy.

She was a weak sub-normal creature, who could evidently overlook his pleasant little way of hanging a mistress upside down by her heels in a wardrobe, just as she could agree with the names he bestowed upon their daughter, I Nuit Ahotoor Hecate Sappho Jezebel Lilith.

Whether or not there was any definite connection between Rampolla and Crowley, the Cardinal’s steady rise in the hierarchy offered a solid contrast to Crowley’s futile preoccupation with the societies of the Golden Dawn and the Oriental Templars, to which were affiliated such bodies as the Knights of the Holy Spirit, the Occult Church of the Holy Grail, the Hermetic Brotherhood of Light, the Order of Enoch, the Rite of Memphis, and the Rite of Mizraim.

When Leo XIII died in 1903, and a conclave was called to elect his successor, Rampolla was known to be well in the running. His nearest rival was the Patriarch of Venice, Cardinal Sarto, a less impressive figure, as the world judges, but with an aura of goodness, or even natural saintliness about him, that Rampolla lacked.

At the first scrutiny, twenty-five votes were in his favour, while Sarto polled only five. As the voting proceeded the latter steadily increased his standing, but Rampolla continued to forge ahead. That seemed to have established the pattern of the voting, and, as though to accelerate its obvious result, the French Foreign Minister took the unusual step of requesting his countrymen among the Cardinals to back Rampolla.

Were hidden strings being pulled? Almost certainly they were. But if so the Sicilian’s opponents, who may have been aware of his being a suspected Illuminatus, came forward with a last-minute objection that dashed his claim. The Emperors of Austria, who were still recognised as legatees of the non-existent Holy Roman Empire, had been invested with the hereditary right to exercise a veto on candidates for the Papal throne whom they found unacceptable.

That veto was now expressed by the Cardinal of Cracow (a city that was then in Austria), in the name of the Emperor Franz Josef of Austria. Some said it was the veto of the Holy Ghost. Rampolla’s hopes foundered, and the mind of the conclave swung round in favour of his nearest challenger, Sarto, who became Pope Pius X.


But it was not generally believed that the veto expressed by the ‘very Catholic’ Emperor of Austria was alone responsible for barring Rampolla’s way, though he never, after the conclave, played any influential role in Rome.

After his death, Rampolla’s papers passed into the keeping of Pius X. After reading them he put them aside with the comment: ‘The unhappy man! Burn them.’ The papers were put on the fire in the Pope’s presence, but enough of them survived to furnish material for an article that appeared in La Libre Parole, in 1929 in Toulouse.

Some of the papers emanated from a secret society, the Order of the Temple of the Orient, and they provided proof that Rampolla had been working for the overthrow of Church and State. A notebook, discovered at the same time, throws a surprising sidelight on the possible Aleister Crowley connection; for several of the societies affiliated to the Temple of the Orient were those which have already been named, such as the Occult Church of the Holy Grail, and the Rite of Mizraim, in all of which Crowley exercised some great or small influence.

So it may have been that in the last days of world peace the secret societies came very near to attaining, through Rampolla, their centuries-old goal ― by claiming a Pope of their own.

A SUIVRE...

 "Crowley was certainly, as shown by his writings, a master of corruption. For what may be most charitably called his spiritual aspirations were tempered by a blatant sensualism. It was through the flesh that his being leapt out to embrace mystery".

 "The Emperors of Austria, who were still recognised as legatees of the non-existent Holy Roman Empire, had been invested with the hereditary right to exercise a veto on candidates for the Papal throne whom they found unacceptable.

 "That veto was now expressed by the Cardinal of Cracow (a city that was then in Austria), in the name of the Emperor Franz Josef of Austria. Some said it was the veto of the Holy Ghost. Rampolla’s hopes foundered, and the mind of the conclave swung round in favour of his nearest challenger, Sarto, who became Pope Pius X".

Lorsque Léon XIII mourut en 1903, et qu’un conclave a été appelé pour élire son successeur, Rampolla était connu pour être dans la course. Son plus proche rival était le patriarche de Venise, le cardinal Sarto, une figure moins impressionnante, comme le disent les juges du monde, mais avec une aura de bonté, ou même de sainteté naturelle à propos de lui, qui manquait à Rampolla. 

Au premier scrutin, vingt-cinq voix ont été en sa faveur, tandis que Sarto n'en réunit que cinq. Comme le scrutin se déroulait, ce dernier a augmenté régulièrement son nombre de votes, mais Rampolla continuait d’être en avant. Cela semblait avoir créé la tendance du vote, et, comme pour accélérer cette évidence, le ministre français des Affaires étrangères a pris une initiative inhabituelle de demander à ses compatriotes cardinaux de soutenir Rampolla. 

Y a-t-il des ficelles cachées qui ont été tirées ? Il est presque certain qu'ils y en a eu. Mais si c’est le cas, les opposants siciliens, qui ont eu conscience qu’il était suspecté d’être un Illuminatus ont présenté une objection de dernière minute qui coulait sa réclamation. Les empereurs d'Autriche, qui étaient encore reconnus comme légataires du Saint Empire Romain qui n’existait plus (Louis = ?), avaient été investis du droit héréditaire d'exercer un droit de veto sur les candidats qu’ils jugeaient inacceptables pour le trône Papal. 

Ce veto s’exprima par le cardinal de Cracovie (une ville qui était alors en Autriche), au nom de l'empereur François Joseph d'Autriche. Certains ont dit qu'il était le veto du Saint-Esprit. Les espoirs de Rampolla se sont effondrés, et l'esprit du conclave tourna en faveur de son plus proche rival, Sarto, qui devint le pape Pie X. 


Mais ce n'était pas comme on le croit généralement le veto exprimé par l'Empereur « très catholique » d’Autriche qui était le seul responsable pour avoir barré le chemin de Rampolla, bien qu'il n'ait jamais, après le conclave, joué un rôle influent à Rome. 

Après sa mort, quelques papiers de Rampolla passèrent sous la main de Pie X. Après les avoir lus, il les a mis de côté avec le commentaire suivant: « Le malheureux homme! Brûlez-les. » Les documents ont été mis au feu en présence du Pape, mais un nombre suffisant ne furent pas brûlés et fournirent des matériaux pour un article paru dans La Libre Parole, à Toulouse, en 1929. 

Certains documents émanant d'une société secrète, l'Ordre du Temple d'Orient, ont fourni la preuve que Rampolla avait travaillé pour le renversement de l'Eglise et l'Etat. Un cahier, découvert en même temps, lance une lumière surprenante sur le lien possible avec Aleister Crowley; car plusieurs des sociétés affiliées au Temple de l'Orient sont ceux qui ont déjà été nommés, tels que l'Eglise occulte du Saint-Graal, et le rite de Misraïm, dans lesquels Crowley exercé une certaine influence, grande ou petite. 

Ainsi, il a pu être que dans les derniers jours de paix du monde les sociétés secrètes sont venues bien près d'atteindre, à travers Rampolla, leur vieil objectif multiséculaire — réclamer un Pape qui est leur. 

A SUIVRE ...


Javier

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 Re: THE BROKEN CROSS (La croix cassée) par Piers Compton

Message  Javier le Ven 15 Jan - 5:23
9.

Growing chaos, and the replacement of traditional values by those of a new order, which were the tangible effects of the 1914 war, were seized upon as offering favourable opportunities to those who never ceased regarding the Church as their one great enemy. For early in 1936 a convention of secret societies was held in Paris; and although attendance was strictly limited to ‘those in the know,’ English and French observers managed to be present. Their accounts of the meeting appeared in the Catholic Gazette of February, 1936, and a few weeks later in Le Réveil du Peuple, a Paris weekly.

No one could fail to notice how closely the sentiments and topics that were there treated correspond to those put forward by Nubius and in the Alta Vendita more than a century before. What follows is a slightly shortened copy of the English version:

‘As long as there remains any moral conception of the social order, and until all faith, patriotism, and dignity are uprooted, our reign over the world shall not come. We have already fulfilled part of our work, and yet we cannot claim that the whole of our work is done. We still have a long way to go before we can overthrow our main opponent, the Catholic Church.

‘We must always bear in mind that the Catholic Church is the only institution which has stood, and which will, as long as it remains in existence, stand in our way. The Catholic Church, with its methodical work and her edifying moral teachings will always keep her children in such a state of mind as to make them too self-respecting to yield to our domination. That is why we have been striving to discover the best way of shaking the Catholic Church to her very foundations. We have spread the spirit of revolt and false liberalism among the nations so as to persuade them away from their faith and even to make them ashamed of professing the precepts of their religion and obeying the commandments of their Church.

‘We have brought many of them to boast of being atheists, and more than that, to glory in being descendants of the ape! We have given them new theories, impossible of realisation, such as Communism, anarchism, and Socialism, which are now serving our purposes. They have accepted them with the greatest enthusiasm, without realising that those theories are ours, and that they constitute the most powerful instrument against themselves.

‘We have blackened the Catholic Church with the most ignominious calumnies, we have stained her history, and disgraced even her noblest activities. We have imparted to her the wrongs of her enemies, and have brought these latter to stand more closely by our side. So much so that we are now witnessing, to our greatest satisfaction, rebellions against the Church in several countries. We have turned her clergy into objects of hatred and ridicule, we have subjected them to the hate of the crowd. We have caused the practice of the Catholic religion to be considered out of date and a mere waste of time. We have founded many secret associations which work for our purpose, under our orders and our directions.

‘So far, we have considered our strategy in our attacks upon the Church from the outside. But this is not all. Let us explain how we have gone further in our work to hasten the ruin of the Catholic Church, and how we have penetrated into her most intimate circles, and have brought even some of her clergy to be pioneers of our cause:

‘Apart from the influence of our philosophy, we have taken other steps to secure a breach in the Catholic Church. Let me explain how this has been done. We have induced some of our children to join the Catholic body with the explicit intention that they should work in a still more efficient way for the disintegration of the Catholic Church, by creating scandals within her.

‘We are grateful to Protestants for their loyalty to our wishes, although most of them are, in the sincerity of their faith, unaware of their loyalty to us. We are grateful to them for the wonderful help they are giving us in our fight against the stronghold of Christian civilisation, and in our preparations for the advent of our supremacy over the whole world.

‘So far we have succeeded in overthrowing most of the thrones of Europe. The rest will follow in the near future. Russia has already worshipped our rule. France is under our thumb. England, in her dependence upon our finance, is under our heel; and in her Protestantism is our best hope for the destruction of the Catholic Church. Spain and Mexico are but toys in our hands. And many other countries, including the United States of America, have already fallen before our scheming.

‘But the Catholic Church is still alive. We must destroy her without the least delay and without the slightest mercy. Most of the Press of the world is under our control. Let us intensify our activities. Let us spread the spirit of revolution in the minds of the people.

‘They must be made to despise patriotism and the love of their family, to consider their faith as a humbug, their obedience to the Church as a degrading servility, so that they may become deaf to the appeal of the Church and blind to her warnings against us. Let us, above all, make it impossible for Christians outside the Catholic Church to be reunited with her, or for non-Christians to join the Church; otherwise our domination over them will never be realised.’

A SUIVRE...


 "We have brought many of them to boast of being atheists, and more than that, to glory in being descendants of the ape !"
traduction approximative a écrit:« Nous avons porté beaucoup d'entre eux à se vanter d'être athées, et plus que cela, à se glorifier d'être des descendants du singe ! »

 "We have given them new theories, impossible of realisation, such as Communism, anarchism, and Socialism, which are now serving our purposes. They have accepted them with the greatest enthusiasm, without realising that those theories are ours, and that they constitute the most powerful instrument against themselves".
traduction approximative a écrit:« Nous leur avons donné de nouvelles théories, impossible à réaliser, comme le communisme, l'anarchisme et le socialisme, qui maintenant servent nos fins. Ils les ont acceptées avec le plus grand enthousiasme, sans réaliser que ces théories sont les nôtres, et qu'ils constituent l'outil le plus puissant contre eux ».


Ces deux images montrent la brutalité de l'armée rouge pendant la guerre civile espagnole contre l'Eglise et les images religieuses (Javier)
 "That is why we have been striving to discover the best way of shaking the Catholic Church to her very foundations. We have spread the spirit of revolt and false liberalism among the nations so as to persuade them away from their faith and even to make them ashamed of professing the precepts of their religion and obeying the commandments of their Church".
traduction approximative a écrit:« C'est pourquoi nous nous sommes efforcés de découvrir la meilleure façon de secouer l'Eglise catholique dans ses fondements même. Nous avons répandu l'esprit de révolte et le faux libéralisme parmi les nations, afin de les convaincre d’abandonner leur foi et même qu’ils aient honte de pratiquer les préceptes de leur religion et d'obéir aux commandements de leur Église.»

 "But the Catholic Church is still alive. We must destroy her without the least delay and without the slightest mercy. Most of the Press of the world is under our control. Let us intensify our activities. Let us spread the spirit of revolution in the minds of the people".
traduction approximative a écrit:« Mais l'Église catholique est encore en vie. Il nous faut la détruire sans délai et sans la moindre pitié. La plupart des journaux du monde sont sous notre contrôle. Intensifions nos activités. Répandons l'esprit de révolution dans les esprits des gens ».



traduction approximative a écrit:9. 

Le chaos grandissant, et le remplacement des valeurs traditionnelles par celles d'un ordre nouveau, ont été les effets tangibles de la guerre de 1914, et ont offert des opportunités favorables à ceux qui n'ont jamais renoncé à considérer l'Église comme leur seul grand ennemi. Au début de 1936, une convention des sociétés secrètes s'est tenue à Paris, et alors qu’elle a été strictement limitée à « ceux qui savent », des observateurs anglais et français observateurs ont réussi (managed) à y être présents. Leurs compte-rendu de la réunion ont paru dans the Catholic Gazette de février 1936, et quelques semaines plus tard dans Le Réveil du Peuple, un hebdomadaire parisien. 

Personne ne pouvait manquer de remarquer à quel point les sentiments et les thèmes qui y étaient traités correspondaient à ceux avancés par Nubius et dans la Haute-Vente, plus d'un siècle auparavant. Ce qui suit est une copie légèrement abrégée de la version anglaise: 

«Tant que demeure une conception morale de l'ordre social, et jusqu'à ce que toute la foi, le patriotisme et la dignité soient déracinés, notre règne mondial ne viendra pas. Nous avons déjà rempli une partie de notre travail, et pourtant nous ne pouvons pas prétendre que l'ensemble de notre travail est terminé. Nous avons encore un long chemin à parcourir avant de pouvoir renverser notre principal adversaire, l'Église catholique. 

« Nous devons toujours garder à l'esprit que l'Église catholique est la seule institution qui a résisté, et qui, aussi longtemps qu'elle existera, se dressera sur notre chemin. L'Eglise catholique, avec son travail méthodique et ses édifiants enseignements moraux va toujours garder ses enfants dans un tel état d'esprit qui feront que d’eux-mêmes ils ne cèderont pas à notre domination. C'est pourquoi nous nous sommes efforcés de découvrir la meilleure façon de secouer l'Eglise catholique dans ses fondements même. Nous avons répandu l'esprit de révolte et le faux libéralisme parmi les nations, afin de les convaincre d’abandonner leur foi et même qu’ils aient honte de pratiquer les préceptes de leur religion et d'obéir aux commandements de leur Église. 

« Nous avons porté beaucoup d'entre eux à se vanter d'être athées, et plus que cela, à se glorifier d'être des descendants du singe! Nous leur avons donné de nouvelles théories, impossible à réaliser, comme le communisme, l'anarchisme et le socialisme, qui maintenant servent nos fins. Ils les ont acceptées avec le plus grand enthousiasme, sans réaliser que ces théories sont les nôtres, et qu'ils constituent l'outil le plus puissant contre eux. 

« Nous avons noirci l'Eglise catholique avec les calomnies les plus ignominieuse; nous avons entaché son histoire, et avons même disgracié ses plus nobles activités. Nous lui avons imputé les torts de ses ennemis, et avons permis à ces derniers de se tenir plus près, à nos côtés. Tant et si bien que nous assistons aujourd'hui, à notre plus grande satisfaction, à des rébellions contre l'Église dans plusieurs pays. Nous avons tourné son clergé en objets de haine et de ridicule; nous les avons soumis à la haine de la foule. Nous avons fait que la pratique de la religion catholique soit considérée comme désuète et comme un gaspillage de temps. Nous avons fondé beaucoup d'associations secrètes qui travaillent dans notre but, sous nos ordres et nos directions. 

« Jusqu'ici, nous avons examiné notre stratégie dans nos attaques contre l'Église, de l'extérieur. Mais ce n'est pas tout. Laissez-nous expliquer comment nous avons pu aller plus loin dans nos efforts pour hâter la ruine de l'Eglise catholique, et comment nous avons pénétré dans ses cercles les plus intimes, et comment nous avons même amené certains membres de son clergé à être des pionniers de notre cause: 

« Outre l'influence de notre philosophie, nous avons pris d'autres mesures pour faire une brèche dans l'Eglise catholique. Permettez-moi de vous expliquer comment cela a été fait. Nous avons incité certains de nos membres (children) à joindre les Catholiques avec l'intention explicite qu'ils devraient travailler d'une manière encore plus efficace pour , la désintégration de l'Église catholique, en y créant des scandales. 

« Nous sommes reconnaissants aux Protestants pour leur loyauté à nos désirs, même si la plupart d'entre eux sont, dans la sincérité de leur foi, tout à fait ignorants de leur loyauté à notre égard. Nous leur sommes reconnaissants pour l’aide merveilleuse qu'ils nous apportent dans notre lutte contre le bastion de la civilisation chrétienne, et dans notre préparation pour l'avènement de notre suprématie sur le monde entier. 

« Jusqu'ici, nous avons réussi à renverser la plupart des Trônes d'Europe. Le reste suivra dans un proche avenir. La Russie idolâtre déjà notre règle. La France est sous notre pouce. L’Angleterre, dans sa dépendance à l'égard de nos finances, est sous notre botte et son Protestantisme est notre meilleur espoir pour la destruction de l'Eglise catholique. L’Espagne et le Mexique ne sont que des jouets entre nos mains. Et de nombreux autres pays, y compris les États-Unis d'Amérique, sont déjà tombés sous nos machinations. 

« Mais l'Église catholique est encore en vie. Il nous faut la détruire sans délai et sans la moindre pitié. La plupart des journaux du monde sont sous notre contrôle. Intensifions nos activités. Répandons l'esprit de révolution dans les esprits des gens. 

« Ils doivent en venir à mépriser le patriotisme et l'amour de leur famille, considérer leur foi comme du charlatanisme, leur obéissance à l'Eglise comme une servilité dégradante, afin qu'ils deviennent sourds à l'appel de l’Eglise et aveugles à ses avertissements contre nous. Rendons, avant tout, impossible pour les chrétiens hors de l'Eglise catholique de se réunir à elle, ou pour les non-chrétiens de rejoindre l'Eglise, sinon notre domination sur eux ne sera jamais réalisée. " 

A SUIVRE ...


Javier

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 Re: THE BROKEN CROSS (La croix cassée) par Piers Compton

Message  Javier le Sam 16 Jan - 4:12
Part Two

"Our moral and political world is undermined with passages, cellars, and sewers".
Goethe.

The pontificate of Pius XII (1939-58) found the Church in a highly flourishing condition. It was exerting its legitimate effect upon the Western world. More and more people were acquiring a fuller realisation, or at least a glimmering, of the Catholic ideal. In England an average of ten thousand people yearly, and in the United States some seventy thousand in one year alone, were said to have ‘gone over’ to Rome; and these converts included not a few who could be classified as prominent in various walks of life.

Entire houses of Anglican religious, who had favoured High Church practices, sometimes followed suit. The record number of those training to be priests and nuns promised well for the Church’s future. The tide of opposition, resulting from the Reformation was on the turn. The signs of Catholic revival were spreading throughout a most unexpected quarter – the English­speaking world.

Those things, strangely enough, coincided with the rise of Communism, and the widespread collapse of moral and social values that followed the 1939 war. During that war, which left Communism in the ascendant, the Vatican had been one of the few completely neutral centres in the world, which caused it to be adversely criticised by Communists who interpreted that attitude as latent partisanship for the other side; and that criticism was strengthened when the Pope passed sentence of excommunication on Catholics who joined, or in any way aided, the Communist Party.

This was an extension of the warning conveyed by the previous Pope, Pius XI, in his encyclical Quadragesimo Anno: ‘No one can be at the same time a sincere Catholic and a Socialist properly so-called.’

Those words had doubtless been written with an eye on continental rather than English-speaking exponents of democracy. But they nonetheless implied condemnation, not only of revolutionary principles, but also of the milder forms of political expression that, when put to the test, encourage subversion.

There it was. The dividing line between Rome and her enemies had been firmly drawn. Both sides had issued their challenge and flourished their blazon. One was inspired by a Messianic though non-religious fervour that promised better things once the existing form of society had been dissolved; the other, secure in its reliance on a supernatural promise which meant that it would not, could not, compromise.


A SUIVRE...


 "The pontificate of Pius XII (1939-58) found the Church in a highly flourishing condition. It was exerting its legitimate effect upon the Western world. More and more people were acquiring a fuller realisation, or at least a glimmering, of the Catholic ideal".
traduction approximative a écrit:« Le pontificat de Pie XII (1939-58) a trouvé l'Eglise dans un état très florissant. Il exerçait son effet légitime sur le monde Occidental. De plus en plus de peuples acquerraient une réalisation plus complète, ou au moins une lueur, de l'idéal catholique. »


 (American actor Gary Cooper with Pope Pius XII) "In England an average of ten thousand people yearly, and in the United States some seventy thousand in one year alone, were said to have ‘gone over’ to Rome; and these converts included not a few who could be classified as prominent in various walks of life".
traduction approximative a écrit:« En Angleterre, une moyenne de dix mille personnes par année, et aux Etats-Unis quelques soixante-dix mille en une seule année, ont déclaré être « passés » à Rome, et parmi ces convertis, ne figurent pas parmi eux ceux qui peuvent être considérés comme étant remarquables dans les multiples cheminements dans leur vie. »


"No one can be at the same time a sincere Catholic and a Socialist properly so-called". (Pope Pius XI)
traduction approximative a écrit:« Nul ne peut être en même temps, un catholique sincère et un ocialiste proprement dit. » (Le Pape Pie XI)


Deuxième partie 

«Notre monde moral et politique est miné avec des passages, des caves et des égouts". 

Goethe. 

Le pontificat de Pie XII (1939-58) a trouvé l'Eglise dans un état très florissant. Il exerçait son effet légitime sur le monde Occidental. De plus en plus de peuples acquerraient une réalisation plus complète, ou au moins une lueur, de l'idéal catholique. En Angleterre, une moyenne de dix mille personnes par année, et aux Etats-Unis quelques soixante-dix mille en une seule année, ont déclaré être « passés » à Rome, et parmi ces convertis, ne figurent pas parmi eux ceux qui peuvent être considérés comme étant remarquables dans les multiples cheminements dans leur vie. 

Des maisons complètes de religieux anglicans, qui avaient favorisé les pratiques de la Haute Église, parfois, ont emboîté le pas. Le nombre record de personnes suivant une formation pour devenir prêtres et religieuses est de bon augure pour l'avenir de l'Eglise. La marée de l'opposition, résultant de la Réforme était dans le détour. Les signes du renouveau catholique se répandaient à travers un quartier des plus inattendus - le monde anglophone. 

Ces choses-là, assez curieusement, ont coïncidé avec la montée du communisme et l'effondrement généralisé des valeurs morales et sociales qui ont suivi la guerre de 1939. Durant cette guerre, qui a laissé le communisme sur la pente ascendante, le Vatican avait été l'un des rares centres totalement neutre dans le monde, ce qui lui a causé d’être critiqué négativement par les communistes qui ont interprété cette attitude comme de la partisannerie latente pour l'autre côté, et que les critiques se sont renforcées quand le Pape a prononcé une condamnation d'excommunication aux catholiques qui se sont joints, ou de toute manière, soutenu le Parti communiste. 

Il s'agissait d'une extension de l'avertissement transmis par le Pape précédent, Pie XI, dans son encyclique Quadragesimo Anno: « Nul ne peut être en même temps, un catholique sincère et un socialiste proprement dit. » 

Ces mots avaient sans doute été écrit avec un œil sur le continentale plutôt que vers les anglophones tenants de la démocratie. Mais néanmoins ils impliquent la condamnation, non seulement des principes révolutionnaires, mais aussi des formes atténuées d'expression politique qui, lorsqu'elles sont mises à l'épreuve, encouragent la subversion. 

On en était là. La ligne de démarcation entre Rome et ses ennemis avaient été fermement établie. Les deux parties ont émis leur interpellation et ont brandi leur étendard. L’un était inspiré par une pensée messianique, quoique de ferveur non-religieuse, qui promettait de meilleures choses, une fois que la société dans sa forme actuelle aurait été dissoute; et l'autre, en sécurité dans son confiance à une promesse surnaturelle, ce qui signifiait qu'il ne ferait pas, ne pouvait pas faire, de compromis. 

A SUIVRE ...


Javier

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 Re: THE BROKEN CROSS (La croix cassée) par Piers Compton

Message  ROBERT. le Sam 16 Jan - 17:42
Sandrine a écrit:Bon, je suis désolée et je ne voudrais pas passer pour une éternelle rabat-joie Embarassed mais il y a quelques points qui me chiffonnent ...

De ce que j'ai compris de ma lecture de la traduction ( au passage, un grand merci à Louis cheers ), c'est que Piers Compton dénonce la conciliaire ( ce qui est très bien ! ) mais considère la secte comme l'Eglise.
scratch

le soulignage et le gras sont de moi...

J'en viens à la même impression que vous et Gabrielle... Est-ce que trois impressions deviendraient une certitude ? Very Happy